Nous l’attendions avec impatience, elle nous a enchantés !



Organisée samedi dernier dans nos bureaux, la journée d’accueil des nouveaux bénévoles de Greenpeace a réuni une quinzaine de personnes, d’âges et d’horizons divers. Un moment convivial, riche en belles rencontres, qui visait à informer les participants sur notre organisation, le précieux travail de nos volontaires et, bien sûr, à leur donner encore plus envie d’œuvrer sur le terrain à nos côtés.

   

Court exposé sur Greenpeace, ses valeurs, sa structure et ses campagnes, ateliers pratiques ou encore nombreux échanges avec des membres de notre staff, notre directeur Michel Genet et plusieurs bénévoles expérimentés étaient au programme du jour. De quoi donner aux participants un aperçu de la tâche accomplie par nos volontaires.

   

« J’aimerais convaincre le grand public de faire des choix plus durables et écologiques », confiait notamment l’un des participants, Sébastien Lamborelle. Un Zellikois de 36 ans, inspiré par l’agriculture, la préservation des forêts… et bien d’autres choses ! Gestionnaire forestier et de réserves naturelles, Sébastien est aussi animateur nature et artistique, musicien, écrivain, peintre et poète. Autant de projets qu’il mène avec passion pour sensibiliser au respect du vivant sous toutes ses formes. Et ce qui lui plait particulièrement chez Greenpeace alors ? Notre campagne pour la protection des forêts.

« J’aimerais que les techniques adoptées pour repeupler les forêts soient plus humaines, plus respectueuses. Souvent, c’est la rentabilité à court terme qui est privilégiée, ce qui nuit à la biosphère. Cette journée d’information m’a en tout cas donné une idée : lancer un groupe de bénévoles pour y remédier et mieux informer la population à ce sujet », ajoute celui qui rêve d’œuvrer à la création et à la préservation de réserves naturelles.

   Sébastien & Astrid

Une saine ambition, que nous avons retrouvée chez chaque participant samedi dernier. A l’image de la benjamine du jour, Deborah Lauwers (16 ans). Développement durable et respect de l’environnement n’ont pas de secret pour la jeune Namuroise. Fille d’ingénieurs agronomes, elle aspire même à devenir activiste de Greenpeace dans deux ans. D’ici là, Deborah continuera à surfer sur Greenwire pour suivre l’actualité des diverses actions environnementales belges. Et à adopter ces petits gestes quotidiens qui peuvent faire la différence.

« J’ai vraiment envie de faire quelque chose pour l’environnement en contribuant, pourquoi pas, au travail d’un groupe de bénévoles de Greenpeace », précisait modestement Deborah. « C’est un domaine qui m’a toujours intéressée, qui me passionne. Mes parents possèdent une ferme BIO et m’ont inculqué l’amour de la terre. Mon père a d’ailleurs déjà accueilli pas mal de fois des personnes et des militants chez nous pour valoriser le secteur agroalimentaire. Je trouve donc normal et logique de m’investir sur le plan environnemental. En Wallonie, on dispose d’un réseau de fou, mais on ne l’exploite pas à fond. »

  Deborah & Emeline

Sébastien et Déborah, deux témoignages qui auraient pu en amener beaucoup d’autres tant la motivation et la détermination se lisaient sur de nombreux autres visages lors de cette journée d’accueil des nouveaux volontaires. Non, le bénévolat environnemental n’est pas mort ! On a déjà hâte de retrouver toutes ces forces vives sur le terrain, à nos côtés, pour mener à bien toutes nos missions.